Je suis éditeur. Suis frappé par des textes que j’ai envie de porter. Celui-là en est un. Je le trouve fort. Poétique. J’aurais presque aimé l’écrire… L’ai reçu en novembre et depuis il est resté dans mes courriels ouverts. Je le relis. Et il tient. Rien que le titre, magnifique. Re-pondre. De nouveau: pondre l’amour.
Le voir poindre.
La photo est magnifique, ce mouvement parce qu’elle le vaut bien, sa valise prête. L’urbanisation intempestive derrière, l’essor urbain, fitness du corps, le cocon en béton.
Je sens ces références poindre: « Call me Ishmael… » ou Machouilla, ah Moby Dick!…
Je suis sûr aussi que nous pourrions trouver des Hobbits dans tout ce surréel!
J’aime quand toi dire « J’aime barbecue en plein air » après avoir parlé littérature et théâtre.
Et cette merveille: « Je cherche une l’amour« …
Ah Mashulya! Je ne te répondrai pas.
Ne suis pas à la auteur pour toi.