L’image détruite. La perte de la mémoire. De l’image qui porte cette mémoire. Animisme poétique.
La destruction de cette mémoire nichée. Non, pas la destruction de cette mémoire, mais simplement de la niche.
Pour une mémoire nomade. Non sédentaire. Fixée. Les enjeux de la conservation, de la pensée obstruée, de l’encombrement.
Et la mise en scène de cette destruction, en image, en mots.
Ou simplement la mise en scène de l’impermanence.
Son accélération donnant le spectacle de sa destruction.
Défiguration narrative.
Mon travail tourne autour de ça, depuis longtemps. Je commence à posséder sa syntaxe. Les mots s’organisent, une phrase bégayée soudain trouve son écho construit. La chapelle de la lacération, la Photographie Instable, Textoclasm! & Snail Away ( deux projets encore secrets), et Défiguration Narrative ( l’exposition à venir…)…